Les monts de la Madeleine

 

Carrefour d'influence montagnarde et atlantique, les Monts de la Madeleine présentent un intérêt écologique majeur. Ils constituent une mosaïque de milieux où la forêt est omniprésente.

 

La colline

L'étage collinéen

Les monts de la Madeleine sous la brume Ici voisinent forêts, boisements, prairies et cultures.

C'est la zone du chêne, associé au charme et au châtaignier. Les parcelles laissées en déshérence se couvrent de landes à genets et à fougères.
La forêt occupe prioritairement les vallées et les zones les plus pentues mais remonte sous l'influence de plantations ou d'accrus naturels sur les replats et terres autrefois cultivées. C'est cette zone qui a subi les plus fortes mutations depuis la fin de la guerre.

Les monts de la Madeleine sous le givre En forêt, l'homme a favorisé le chêne qu'il utilisait pour le chauffage, tandis que son écorce entrait dans le procédé de tannage des cuirs et que ses glands nourrissaient les porcs.

L'étage collinéen, les peuplements de Chênaies - Charmaies caractérisent les plaines et les fonds de Vallons. Ils sont écologiquement très riches.

On y trouve de nombreuses espèces rares (le Pic Cendré en Forêt de Lespinasse, seul site de reproduction connu, pour cet oiseau, en Rhône Alpes), le Lucane cerf-volant (un coléoptère avec deux pinces proéminentes sur la tête du mâle) ou le Sonneur à ventre jaune qui est un petit crapaud.

Les milieux exploités présentent une certaine mosaïque de formations : prairies, pâtures, cultures, mais aussi pinèdes et landes, haies, boisements.

Mosaïque

Monts de la Madeleine - Colline

Monts de la Madeleine - Colline
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